On sait que le Philharmonique de Vienne n’est pas l’instrument idéal de la musique contemporaine, mais plutôt le bastion de la musique « germanique », et notamment romantique.
C’est bien ce que sont venus vérifier les heureux possesseurs des deux billets ci-dessous. Le facsimilé du programme correspondant est en ligne.
Personne ne pouvait alors présager qu’un des compositeurs à l’honneur, Hans Pfitzner, allait disparaître peu après.