Analyses (ancienne page)

Sur le Concerto symphonique

Le 28 avril 1939, à l’extrême fin du concerto symphonique, Furtwängler, très nerveux comme il l’était toujours lorsqu’il exécutait l’une de ses oeuvres, quitta brusquement le podium, entendant un brouhaha dans la salle. Il était persuadé qu’il s’agissait d’une manifestation à l’encontre de sa musique… Le texte proposé ici était destiné aux auditeurs de la tournée que fit Furtwängler avec Edwin Fischer et le Philharmonique de Berlin à cette époque.

Sur la musique pour piano seul

La production de Furtwängler pour piano seul est l’oeuvre d’un tout jeune compositeur… Robert Rivard, auteur de l’étude que nous vous proposons ici, a été le premier interprète des œuvres du tout jeune Furtwängler. Depuis juin 2007, ces enregistrements sont intégralement disponibles gratuitement sur le site de Robert Rivard.

Sur le Te Deum

Le compositeur en rédigea les premières esquisses dès l’âge de 19 ans…

Sur la Sonate en ré majeur pour violon et piano

Sonate en ré majeur pour violon et piano, où la conjugaison du thématisme tonal et de la structure devient l’une des conditions absolues de toute expression.