Parmi les symphonistes non « germaniques » interprétés par Furtwängler, Tchaïkovsky vient en tête, loin devant Sibelius, Dvorak ou Franck. Son répertoire, délaissant au fur et à mesure de sa carrière le Concerto pour piano nº 1, celui pour violon, Roméo et Juliette, Francesca da Rimini et quelques autres pièces, se resserra sur les Symphonies nº 4, 5 et 6, œuvres qu’il a magnifiquement servies.
Ce sont ces rapports Furtwängler-Tchaïkovsky que Félix Matus-Échaiz mettra en lumière au cours de deux conférences. La première aura lieu le mercredi 10 janvier. Les détails figurent sur la page consacrée aux Conférences et Concerts.